Au quotidien nous utilisons souvent le mot POURQUOI ? fasse à une situation un peu difficile ou délicate.

C’est curieux que cette question suivant si nous sommes religieux ou pas nous ne l’utilisons pas et nous ne la vivons pas de la même façon.

Quand un accident de la vie nous frappe, la première chose qui nous traverse l’esprit: c’est pourquoi ? ma famille, moi…(comme si c’était une punition ou une fatalité),nous nous questionnons comme si il y avait une raison à cela. Par contre une personne plus pieuse va simplement dire :”la question ce n’est pas pourquoi “? mais COMMENT?  Comment surmonter ,dépasser et vaincre cette épreuve? Comment je vais prendre le recul pour apprendre de mes erreurs et aller de l’ avant.

Quand nous demandons Pourquoi? nous avons tendance à dire parce que! c’est comme ça ,c’est la vie c’est la volonté de D_

Est ce qu’une réponse qui implique une “fatalité, une croyance, une normalité “est suffisante pour ne pas rentrer dans une spiral de questionnement qui restera certainement sans réponse?

Le manque de réponses claires: comme deux plus deux font quatre: peuvent être “dévastatrices “pour l’homme,.

En conséquence, ce manque de “vérité” peut nous faire rentrer dans “une spirale négative de fatalité “d’incompréhension qui mettrai notre équilibre en péril.

Il faut faire la différence entre les questions qui nous nourrissent, qui nous permettent de prendre le recul nécessaire et celle qui nous brime et qui nous empêche d’avancer.

Je pense que fondamentalement l’équilibre de l’homme dépend de plusieurs chose. La première à mon sens est l’éducation religieuse ou pas. La seconde c’est ce que j’appelle “le pedigree ” ( le mélange génétique des parents ) et la troisième c’est le caractère.

Le caractères c’est la partie que nous forgeons c’est un peu l’amure du chevalier, c’est la parti de notre être qui va nous propulser vers une qualité de vie meilleurs ou au  contraire nous réduire à vivre dans “la négativité”