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La bêtise humaine sous l'emprise de l'égo qui nous incite à mal agir
La bêtise humaine ou l’égo !

Parfois l’Homme pense agir par amour pour celui ou celle qui partage sa vie. Il use de stratégie, de ruse, de chantage affectif. Néanmoins, il est surtout capable de s’armer de patience pour justifier son comportement. C’est l’ego qui agit ou la bêtise humaine ?

L’amour, qu’est-ce que c’est ?

Est se prendre en otage l’autre en le détournant de sa vraie nature ? Ou, est-ce justement le contraire, accepter juste ce qu’elle, ou, il est tout en composant avec ce qui l’entoure ? Aimer, ce n’est pas aussi simple que l’on peut le penser. Occasionnellement, nous pouvons avoir une vision de l’amour assez chaotique et romanesque. Prendre celui que l’on apprécie en otage, pensant naïvement que c’est un comportement normal. Cependant, je me demande au nom de quoi ! ou de qui ? demander de choisir indirectement par des comportements inappropriés et une preuve d’amour et de bienveillance. Dans la prise d’otage, c’est l’égo qui prime ou la bêtise humaine ?

Au nom de l’égo ou de la bêtise humaine, agissons-nous ?

L’ego, la fierté, la colère, la jalousie ou simplement la bêtise humaine d’un homme blessé dans son amour-propre. Chaque individu sur cette terre a le droit d’avoir des avis divergents. Il peut les clamer, voire-même de les défendre au nom d’une valeur forte. Comme, le respect, l’amour, la famille ou juste la cupidité, la peur de perdre celui ou celle qu’on idéalise.

Pourquoi cette question entre l’égo ou la bêtise  ?

Je suis confrontée à une situation qui me dérange Fortement.
Le problème, c’est que j’ignore si cette situation me dérange par instinct, protecteur d’une mère ou d’une sœur qui ne reconnaît pas les choix de celle-ci. Ou, si c’est l’égo ou uniquement la bêtise humaine qui est blessé sur la tournure de l’histoire, qui ne rejoint pas celle que j’aurais écrite dans les mêmes circonstances ?

Le curseur entre ce qui est outrageant pour moi et acceptable pour l’autre est parfois compliqué.  Quand la carte du monde des deux parties est divergente ? Ce qui m’amène à me questionner sur l’impact des mots sur nos comportements émotionnels ! À savoir, le regard ou la penser de l’autre à mon égard ou simplement une vérité occultée qui éclate au grand jour, renversant le masque qui “me” ou “nous”protégeait. Il est pour moi assez difficile de faire la part des choses entre ce que je vois, je ressens, et j’imagine. Je suis prise en otage entre l’égo qui me fige et l’humilité qui m’habite de faire abstraction de ce qui me dérange pour le bien-être de celle qui est chère à mes yeux.

Entre réalité et paraitre

Est-ce l’amour ou la bêtise humaine qui lui a fait oublier ce qu’elle était au plus profond d’elle-même ? Ou est-ce la bêtise d’Homme, l’égo, d’un conjoint sournois et jaloux qui l’a manipulé au fil des ans ?
Peut-être que j’ai évolué, en voyant différemment les choses depuis la perte de notre père. Je bouillonne de l’intérieur, je suis peinée, outrée, blessée, mais je me sens surtout impuissante et non respecté. Non respecté parce que c’est l’égo qui mène la danse ou simplement blessé de prendre conscience que j’idéalisais. De ma fenêtre, je vois des choses qui ne me conviennent pas dans mes croyances, mes valeurs, mon idéale. Je suis prise entre mon âme d’enfant un peu candide et mon âme d’adulte.

La prise de conscience

Alors que j’écris ses lignes, je ne sais plus, si je suis agacée, en colère ou si je suis dans un lâcher prise totale.
C’est là que cela devient problématique, car dans la colère ou l’agacement, il y a une porte à la négociation pour apaiser les choses et renouer le contact pour la Famille ou la personne que l’on aime.

Dans le cas du lâcher-prise, il n’y a plus d’émotions, plus d’empathies, tout est insipides, c’est comme si mon âme devenait “l’âme” d’un robot.  Dans la vie au quotidien, occulter les personnes qui ne me conviennent pas où qui ne me respectent pas, ne me pose aucun problème, c’est la raison pour laquelle, je suis légère et je me fous du qu’en-dira-t-on.
Cependant, dans cette histoire, le fait d’occulter ne résout pas le problème de celle qui se trouve prise en otage, celle qui est au milieu de ce conflit.
Un conflit qui aurait peut-être pu être évité ou apaisé. Cependant, au lieu de cela, il est en statut “co”, avec un “j’ai baissé les bras” “je m’en fous”. C’est une sensation horrible qui me renvoie encore une fois probablement à une vérité que je n’ai pas envie d’accepter ou de voir. Je me dois d’ouvrir les yeux sur mon éducation, mes croyances, mes devoirs et mes obligations, c’est toutes les fondations d’un écosystème remises en cause.

C’est injuste par rapport à quoi, à qui ?

Cependant, en acceptant que les choses changent, je me dois d’accepter aussi que ma famille après le décès de mon père a pris un sens plus qu’étrange. Je suis prise entre peine, tristesse et surtout, je suis animée par un sentiment d’injustice. Je dis toujours que la vie est une éternelle injustice, que la mort n’est pas juste, mais par rapport à qui, à quoi ? Quels sont les éléments qui nous permettent d’être dans l’acceptation la plus totale. Quand on aime d’un amour inconditionnel, il est parfois difficile de faire la part des choses entre ma réalité et la réalité des faits.

L’acceptation n’est pas une preuve d’amour !

Accepter sans rien dire n’est pas une preuve d’amour. Comment peut-on être prise au piège de devoir “choisir “entre le lien du sang et la famille que l’on a créée ? Il aura fallu à peine six mois après le décès de papa pour que la famille vole en éclat. Pourquoi a-t-elle volé en éclat, par manque de communication, par amertume, par jalousie, par manque d’humilité et de clairvoyance ? Ou simplement par un ego surdimensionné d’un Homme blessé dans son amour-propre. Quand on est une famille aussi fusionnelle que la mienne, il n’est pas évident pour les conjoints de trouver leur place. En effet, même si nous aimons profondément nos conjoints, le lien et l’ancrage du noyau familial est bien plus fort que tout le reste. Nous avons des crises, des disputes, des éloignements, des discordes, mais tel un boomerang, nous revenons toujours aux sources.   

La morale de l’histoire

À force de faire les choses pour éviter le conflit, de faire l’autruche et de jouer un rôle, on devient l’ombre de son être profond.
Par conséquence, à force de faire abstraction de notre véritable être, nous devenons l’ombre de nous-mêmes, prisonnière d’un corps rongé par la frustration, la colère de ne pas agir selon notre vraie nature.
Savoir trancher et dire stop a ce qui est contre sa nature profonde, c’est être soi
C’est exister, mais c’est surtout se respecter et s’affirmer.

Bas les masques, la solution, c’est toi !

 

 

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Deborah

Quadra survoltée, jonglant avec brio entre la gestion de deux mini-humains turbulents et ma mission secrète d'aidante familiale. Le tout dans un paquet-cadeau emballé ! La vie ne m'a pas toujours fait de beaux cadeaux. Maman dynamique, j'ai développé le superpouvoir de débusquer la lueur "positif" dans chaque situation, comme une véritable magicienne des opportunités déguisées !

Coach certifié, par coach académie depuis 2022.

J'accompagne les super-héroïnes du quotidien à devenir leur priorité numéro un, avec un coaching qui décoiffe, du fun et des paillettes.

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